Comment écrire un article de blog qui se positionne sur Google ? 

Quels sont les secrets pour écrire un article de blog qui se positionne sur Google ? Vous pouvez écrire le meilleur article de blog du monde. Mais s’il n’est pas bien référencé sur Google, personne ne le lira. C’est très frustrant, car vous avez passé des heures à rédiger l’article, à faire des recherches poussées, à l’optimiser aussi. Vous y mettez un maximum de valeur, vous êtes fier du résultat, mais voilà : il ne fait pas de visite, perdu dans les profondeurs de Google.

Heureusement, j’ai la solution ! Pour écrire un bon article de blog, qui soit bien référencé par Google, il y a en tout trois grands points à définir : le mot clé principal, le nombre de mots et la trame de l’article.

Prêt à faire décoller l’audience de votre blog ? Si c’est le cas, découvrez dans cet article la méthode simple pour écrire un article de blog qui se positionne rapidement sur Google.

Les étapes clés à suivre pour écrire un article de blog qui se positionne sur Google

Étape 1 : identifier le bon mot clé

identifier le bon mot clé
Rédaction article de blog sur WordPress

Ici, il vous faut trouver le juste équilibre et ce n’est pas toujours évident à faire ! Si vous voulez attirer un maximum de visiteurs, le mot clé de votre article doit être suffisamment recherché sur Google. Mais, il ne doit pas non plus avoir trop de concurrence pour que vous ayez vos chances de vous positionner. Alors comment savoir si l’article que j’ai en tête ait suffisamment de visite, mais pas trop concurrence non plus ? Voici comment faire !

Pour connaître le niveau de concurrence, vous allez utiliser Google, le moteur de recherche. Tapez dans Google la commande suivante : « allintitle: votre mot clé ». Pour le mot clé « écrire un article de blog » par exemple, j’obtiens sur mon navigateur « Environ 586 résultats (0,31 secondes) ». Cela signifie qu’il y a 586 pages qui ont le mot clé « écrire un article de blog » dans leur titre (H1). Si on fait la même démarche pour un mot clé très concurrentiel, par exemple le mot clé « trouver des clients », j’obtiens « Environ 3 940 résultats (0,71 secondes) ». Comme vous pouvez le voir, entre ces deux mots clés, le niveau de concurrence n’est pas le même. Sur le second, énormément de pages web sont positionnées.

Une fois que vous avez fait cette étude de concurrence, il vous faut ensuite déterminer le nombre de recherches mensuelles des mots clé qui vous intéressent. Pour cela, vous aurez besoin de l’outil en ligne Yooda. Une fois connecté à ce dernier, sélectionnez l’option « market explorer » et analysez dessus le mot clé qui vous intéresse. L’outil vous affichera le nombre de recherches précis par mois sur votre mot clé. Vous jugerez ensuite s’il est réellement intéressant de se positionner sur ce mot clé en question en fonction du nombre de recherches.

Pour juger si un mot clé est intéressant ou non, vous allez vérifier si le nombre de pages positionnées sur Google sur ce mot clé ne s’éloigne pas trop du nombre de recherches affiché par Yooda. En d’autres termes, vous allez devoir calculer ce que l’on appelle le « Keyword Golden Ratio ». Ce dernier est égal au nombre de recherche « allintitle » divisé par le nombre de recherches mensuelles. Si votre KGR est supérieur à 1, le mot clé n’est pas intéressant. Si le KGR est inférieur à 0.25, c’est bon. Et si c’est entre les deux, on va dire que c’est bien.

Alors que faire si un mot clé qui vous trouvez intéressant n’obtient pas de bon score KGR ? Il existe une astuce : vous allez tout simplement utiliser le mot clé et en faire un mot clé de longue traîne. Pour le mot clé « trouver des clients (3940 résultats) » par exemple, vous pouvez le rallonger un peu par « trouver des clients sur Internet (seulement 118 résultats) ». Ce dernier est un mot clé dit de longue traîne. Il est par conséquent moins recherché sur Google.

Voici en résumé ce que vous devez faire pour trouver les bons mots clés :

  • Listez les mots clés intéressants
  • Calculez pour chacun des mots choisis le Golden Ratio
  • Gardez les mots clés avec KGR inférieur à 1
  • Et pour les mots clés avec un KGR supérieur à 1, en faire des mots clés longue traîne

Et une fois que vous avez trouvé votre mot clé, vous allez ensuite pouvoir passer à l’étape suivante : définir le nombre de mots nécessaire pour être bien référencé sur Google.

Etape 2 : Déterminer le nombre de mots de l’article à rédiger et à positionner sur Google

Combien de mots exactement faut-il pour un article de blog que l’on souhaite bien positionner sur Google ? Si l’on en croit les études, c’est 2000 mots. Ces études démontrent que les pages qui sont bien positionnées sur Google font en moyenne 1950 mots. On peut donc partir sur ce nombre et ne rédiger que des articles de 2000 et plus. Mais le mieux c’est aussi de déterminer directement le nombre de mots des pages qui sont déjà positionnés sur vos mots clés sur Google.

Pour cela, vous aurez besoin d’une extension Chrome qui s’appelle « Keyword Surfer ». Installez cette extension ! Elle vous affichera le nombre des résultats de recherche sur le mot clé de votre choix. En un coup d’œil, vous saurez donc quel est le nombre de mots que Google apprécie pour ce mot clé.

Etape 3 : définir une trame optimisée

Maintenant, on va voir la méthode pour trouver la trame parfaite. Et pour cela, on va encore utiliser Google pour avoir toutes les informations dont nous avons besoin.

Tapez sur Google votre mot clé. Ensuite, sur la page de résultats et la rubrique « autres questions », sélectionnez les sujets que vous trouvez pertinents. Ces « autres questions » sont les informations ou autres informations que les internautes recherchent avec le mot clé que vous avez choisi. Maintenant, rendez-vous sur ChatGPT et posez-lui les questions posées que vous avez trouvées sur la page de résultats de Google. Vous aurez alors des éléments de réponses sur ces questions et dont vous aurez besoin pour la rédaction de l’article.

Écrire un article de blog qui se positionne sur Google : d’autres conditions importantes à remplir pour

Écrire un article de blog qui se positionne sur Google
Surfer sur le moteur de recherche Google

Titre accrocheur et balises méta. Le titre de votre article doit être convaincant et inclure des mots-clés pertinents. Assurez-vous également d’optimiser les balises méta, notamment la balise de titre et la balise de description, en y incluant des mots-clés ciblés.

Structurez votre article. Divisez votre article en sections et utilisez des titres et sous-titres (balises H1, H2, etc.) pour organiser le contenu. Cela permet aux moteurs de recherche de comprendre la structure de votre article et d’indexer facilement son contenu.

Contenu de qualité. Offrez un contenu de haute qualité, informatif et utile pour les lecteurs. Évitez le contenu dupliqué ou le plagiat, car cela peut nuire à votre classement sur les moteurs de recherche.

Liens internes et externes. Intégrez des liens internes vers d’autres articles de votre blog, afin de créer une structure en arborescence et d’améliorer l’expérience de navigation. De plus, ajoutez des liens externes vers des sources fiables et pertinentes pour enrichir le contenu de votre article.

Optimisez les images. Les moteurs de recherche ne peuvent pas « voir » les images, il est donc important d’optimiser les balises alt des images en y incluant des mots-clés pertinents. Cela permet également d’améliorer l’accessibilité de votre contenu.

Temps de chargement rapide. Assurez-vous que votre site web et votre article se chargent rapidement, car la vitesse de chargement est un facteur de classement important pour Google. Optimisez la taille des images, utilisez la mise en cache et choisissez un hébergement de qualité.

Formatage du texte. Utilisez des paragraphes courts, des listes à puces et des citations pour rendre votre contenu plus lisible et scannable. Les lecteurs et les moteurs de recherche apprécient une structure claire et bien formatée.

Optimisation locale. Si votre article de blog concerne une entreprise ou un lieu spécifique, pensez à optimiser le contenu pour le référencement local. Incluez des informations telles que l’adresse, le numéro de téléphone et les mots-clés liés à la localisation.

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